Thursday, January 15, 2009

Photos d'hiver

Parce que, ben, on est en hiver...?





Ground control to Major Tom...

C'est A. qui m'a fait rire avec ça l'autre jour. Y'a en ce moment un pub de char (je ne sais pas quelle marque, ni compagnie) où on entend une reprise de "Space Oddity" (pas terrible, la reprise, d'ailleurs [quand on s'essaie à reprendre un grand classique, c'est difficile d'y faire honneur). Alors que la pub joue, A. me dit : "En tout cas, ils ont choisi les bonnes paroles". Je le regarde avec des points d'interrogation dans les yeux. "Ben oui, qu'il rapplique. Si ça avait été "...floating in a tin can...", ça aurait pas été trop vendeur". J'avoue...

La fois où je crois avoir fait le plus rire A. en écoutant la télé, c'est en écoutant une émission sur les encornets géants (ça sonne tellement mal en français! je vous parle du Humboldt squid). Le narrateur, encore tout ému, raconte solennellement sa plongée avec les calmars, ce qui sonnait à peu près comme ceci :

"These are the most magnificent creatures I have ever seen. They swim gracefully through the dark waters, intrigued by the light we bring upon their world. Their skin is iridescent, a strange ballet of colour, somewhat stroboscopic. Red. White. Red. And back again to white. As I watch them turn all around me, flashing sometimes in sync, sometimes each uniquely changing to its own beat, I can't help but wonder what it means. Are they communicating with each other? Could these flashes be a form of complex language? And if it is, what are they saying to one another? What are they saying to me? One cannot help but wonder : WHAT are they thinking?"

Et c'est là que je m'exclame : "Ah ben! Encore un cave avec une caméra"!

On a vraiment rit... Mais bon, j'imagine qu'il fallait être là...

Courtoisie dans le métro

C'est quelque chose qui me fatigue vraiment : lorsque le métro arrive en gare et que tu dois sortir du wagon, et qu'il y a trois grosses madames vis-à-vis la porte qui se bousculent presque déjà. C'est évident qu'elles veulent se jeter sur les bancs libérés. Et lorsque les portes ouvrent, elles ne te laissent pas le temps de débarquer, non! Elles poussent et poussent et poussent, et toi tu essaies juste de SORTIR du wagon. Mais tu es pris, et tant qu'elles ne se sont pas ruées sur les places assises, pas moyen de passer. 'fait chier...

En général, la règle non-écrite décrète que lorsque le métro arrive, tu te places sur le côté des portes, tu laisses le monde débarquer et ensuite tu te glisses dans le wagon. Mais bon, les règles, c'est pour les autres, non? ;oP